1. Le comité médical et la commission disciplinaire désavouent Yvan Auguet, président de l'université de Perpignan : le Professeur Caccomo est réintégré dans ses fonctions et porte plainte pour "harcèlement avéré pouvant entraîner une grave dégradation de la santé" : https://youtu.be/6_U9Koo3gcI?si=94Hs2gpI8SSJBOCx Quand on attaque quelqu'un, encore faut-il savoir évaluer les forces de l'adversaire, et surtout les siennes. C'est ainsi que Pearl Hearbor a entraîné la réponse : Hiroshima.
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  2. Madame la Juge, Je vous croise tous mes matins au café de la paix, où vous faites vos potins de filles avec vos copines et, manifestement, vous ne me reconnaissez pas. Et vous avez refusé de prendre mon enveloppe. Alors, devant votre lâcheté sans nom, je vais rendre publique ma missive. Car, moi, je ne peux oublier l'humiliation que j'ai subi dans votre bureau, après cinq heures d'audience en tant que témoin assisté, où vous avez fini par me faire pleurer. Alors, pour me rassurer, vous avez dit qu'il n'y aurait pas de mise en examen : le lendemain matin, à 6 h, la police m'apportait mon avis de mise en examen signé de votre main. Et c'est moi que l'on traite de menteur. Vous salissez votre fonction, madame la juge, comme votre ami, Fabrice Lorente. Mais, à propos, qu'est-il devenu ce pitre ?
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  3. Monsieur le Directeur, Pendant que vous êtes en vacances, grâce à l'argent de vos patients, dont certains ont été enlevé de force, comme moi quand on m'a emmené à l'hôpital psychiatrique de Thuir, je veux vous informer des faits suivants, qui ont fait l'objet d'une déposition au commissariat central de police de Perpignan : 1. Gwenaelle Bouchereau, étudiante en V.A.E., responsable des ventes des vins de Château Valmy à Carrefour Claira, a été internée dans votre établissement, à la demande d'un psychiatre de Perpignan, exécutant les ordres de Fabrice Lorente, le président de l'université de Perpignan qui m'a fait interner, et s'est mis dans la poche mes avocats. Elle était amenée à témoigner dans le cadre de mon affaire, et n'a pas pu se présenter à l'audience du 16 août 2017. 2. Je suis venu, à sa demande, à la clinique de Beaupuy, aux heures de visite et j'ai été arrêté par un barrage de la gendarmerie, qui m'ont ordonné de faire demi-tour. 3. A ce jour, je suis sans nouvelle de Gwenaelle, depuis le 29 juin 2017, alors que je m'occupais de sa V.A.E. à l'université de Perpignan. Je prie le ciel qu'elle lira, un jour, ce message car j'ai sa disparition sur ma conscience chaque jour. En agissant de la sorte, vous vous rendez coupable d'une entrave à la justice, comme tant d'autres qui m'ont trahi depuis (Manuella Kant, mes avocats, et mes collégues), en recourant à une rafle psychiatrique, pour laquelle j'ai obtenu la condamanation de l'hôpital de Thuir. Il vous faudra, vous aussi, vous expliquer devant les juridictions compétentes, le moment venu. Transmis à qui de droit.
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  4. Encore une fois, hélas, j'aurai préféré me tromper. Mais, je veux d'abord remercier le public d'être venu hier soir au palais des congrès de Tautavel. J'en profite pour saluer le Maire et les chercheurs du Musée de la préhistoire que j'ai été ravi de retrouver, plus de dix ans après ma rencontre avec le Pr Henri de Lumley, celui qui découvra le crâne qui rendit célèbre et prospère, Tautavel. Je ne connaissais pas les trois quart du public présent, hier soir, de la même manière que je ne connais pas les inconnus qui, partout le monde, entrent une librairie et achètent mes livres. Par contre, je connais ceux qui, dans mon entourage, n'en achètent jamais, mais qui parlent comme si ils les avaient lu. Tout flatteur vit au dépend de celui l'écoute. J'ai juste un relevé de vente de mes éditeurs. Pourtant, parmi les inconnus présents hier soir, certains étaient venus de l'Ardèche, comme quand je traverse la France pour aller à la rencontre de mes amis Facebook à Arras ou Nancy, car j'accorde un sens au mot "Ami". Et, si je me fie à ce sens, point d'amis je n'avais hier dans la salle, pas même mes fils, pas même ceux qui se complaisent à profiter de mes largesses, en venant manger chez moi, sans jamais acheter un livre (10 euros) ou un tableau (20 euros), en augmentant leurs honoraires d'avocat, ou en vivant dans une belle maison grâce à une large pension alimentaire : ils sont, pourtant, prompts à me demander un service, me transmettre leur CV, me demander un rdv avec mes modèles, comme tous ceux que j'ai placé à l'université, et qui ont, ensuite, fait des signalements sur moi pour me faire sauter après trente ans de carrièr. Alors, je reprends les mots de Boris Vian : "j'irais cracher sur vos tombes". Mais, je ne peux m'en prendre qu'à moi-même car, après tout ce qui m'est arrivé, pourquoi j'ai continué à croire à ces sornettes sur l'amour ou l'amitié. Quand j'avais vingt ans et que je remplissais des salles à Aix et Marseille avec mon groupe Prog "Vertige", tous ceux qui me disaient "tu me préviens Loulou quand tu joues, tu joues quand, je viendrai te voir", je ne les voyais jamais, et comme Dalida dans sa chanson, je me disais en moi : "Paroles, paroles, paroles, encore des mots, toujours des mots, rien que des mots".
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  5. Quand certains auto-proclamés "amis", que je n'ai jamais rencontré, s'attribuent mes victoires, arrachées quasiment depuis mon enfance, je ne puis ressentir que dégoût et lassitude. Ils osent dire qu'ils m'ont "donné une chance de me relever". Non seulement, ils ne m'ont jamais rien donné car je ne demande rien à personne, alors que l'on ne me demande rien ; mais, la chance est l'alibi des imbéciles. La chance n'existe pas. Mes premières vidéos n'étaient vues par personne, ni mon blog. Mes collègues riaient de moi. Mon blog est référencé dans une trentaine d'université dans le monde, et classé dans le top 5 par le magazine l'Etudiant. Certaines me des vidéos, relatives à mon affaires, atteignent aujourd'hui plus de 200 000 vues. En acceptant des interviews à des inconnus, c'est moi qui leur donne l'opportunité d'augmenter l'audience confidentielle de leur chaîne. Mais, c'est pris sur un temps précieux pour moi, alors que je suis toujours menacé et toujours en Banque de France. Et ces gens me donnent des leçons. Mais, il faut resituer cela dans un contexte général de délitement des valeurs en occident. Ainsi,les ultra-féministes manifestent devant les magasins de jouets parce qu'elles sont choquées que les parents achètent des cadeaux de garçons pour les garçons et des cadeaux de filles pour les filles. Bientôt, elles vont nous dire d'habiller les filles en garçons et les garçons en filles. Et, on se demande pourquoi les rapports entre les hommes et les femmes sont devenus si compliqués... Par ailleurs, les oppositions aux crèches de Noël se multiplient à l'approche des fêtes. On censure les oeuvres d'art, on réécrit l'histoire, passée au filtre du Wokisme. Pareils délires n'existaient pas durant mon enfance. Mais qui sont ces gens qui veulent absolument s'en prendre aux traditions ancestrales au cœur de la nature humaine comme aux pires heures du totalitarisme soviétique. Oserai-je faire le lien au risque de passer pour un extrémiste ? Les totalitarismes ont toujours eu pour objectif de briser la famille (lieu de la reproduction sociale inégalitaire selon Bourdieu) et d'anéantir le sentiment religieux. Chez nous, l'Etat-providence est devenu un nouveau totalitarisme dont la laïcité en est l'avatar. Etre laïque, cela devrait vouloir dire être tolérant avec toutes les religions comme le défendait Voltaire et non les étouffer ou les interdire. En fait, notre déclin économique n'est que la partie émergée de l'iceberg, il est bien le résultat d'un déclin moral qui conduit les acteurs de la société à démissionner de leurs responsabilités, leurs différences et leurs complémentarités, et les individus à se trahir mutuellement : tous pour un, chacun pour soi.
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  6. On aura beau faire toutes les alternances, et convoquer autant de rapports d'experts que l'on veut, mais aucun changement de cap ne saura réellement possible tant que les mentalités n'évolueront pas elles-mêmes. C’est tout de même un terrible malentendu de voir les fonctionnaires manifester ou programmer rituellement des journées de grève, au nom des retraites, du pouvoir d’achat ou de la défense de l’emploi, manifestant du même coup une totale ignorance des réalités économiques. Les fonctionnaires (dont je fais partie) auraient-ils perdu de vue que l’Etat tire ses ressources – dont la plus grande partie sert à les rémunérer - du fait qu’il existe un secteur privé composé d’acteurs économiques en mesure de créer des richesses ? Bien-sûr, ces acteurs économiques sont en mesure de créer des richesses lorsqu’il existe des biens et services publics nécessaires à l’épanouissement de l’économie. Mais, il s’agit de trouver une taille optimale qui lui-même dépend d’un ratio précis entre la dépense publique et l’investissement public. Il est un point critique au-delà duquel tout développement du secteur public, non seulement pèse en termes de charges supplémentaires sur le secteur privé, mais empêche le développement de l’initiative privée elle-même, les individus attendant tout de l’Etat ou des collectivités publiques. L’Etat n’aurait aucun intérêt à faire disparaître comme une peau de chagrin toutes les entreprises du territoire dans la mesure où cela reviendrait à se ruiner lui-même. Il est connu, du moins par ceux qui se donnent la peine de se demander comment fonctionne effectivement une économie saine, que toute procédure collective qui conduit à arracher des augmentations de salaire aboutit à un renchérissement du prix des biens et services que nous consommons, de sorte que le pouvoir d’achat n’est aucunement accru à l’issue de ce processus. Si le boulanger estime qu’il gagne mal sa vie, il doit tout mettre en œuvre pour augmenter sa clientèle, ce qui le conduira à plus - ou mieux - travailler. C’est cette motivation qui est à l’origine de la plupart des innovations qui ont changées notre vie quotidienne [1]. Mais, si le boulanger se coalise avec tous les autres boulangers pour arracher un accroissement collectif du revenu de l’ensemble de sa corporation, alors le pain coûtera plus cher, y compris au boulanger lui-même dont la famille est composée de consommateurs de pain. Et si toutes les corporations agissent ainsi - ce qui devient inévitable à partir du moment où une corporation aura eu gain de cause-, alors toutes les augmentations de salaire ainsi obtenues d’un côté seront mangées par les augmentations de prix de l’autre côté. C’est en ce sens que les négociations collectives, qui contournent les mécanismes de régulations opérant sur les marchés du travail, contribuent à perpétuer les dysfonctionnements de l’économie, notamment en engendrant à la fois un chômage structurel et une inflation par les coûts face à laquelle la Banque Centrale sera bien impuissante. Au pays de l'Etat-Providence, chacun cherche à vivre au dépend de tous, au nom de la défense hypocrite du modèle social. Et j'assiste à cette mascarade depuis que j'ai passé mon baccalauréat : à ce stade, ce n'est plus une crise mais c'est la disparition de la France de la scène internationale.
    [1] Caccomo J.L. [2005] L’épopée de l’innovation. Innovation technologique et évolution économique. L’Harmattan, Paris.
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  7. J'en ai marre d'entendre, à longueur de temps et d'ondes, dans la propagande officielle, ou dans les discussions de café du commerce :
    N'achetez pas ceci car c'est fabriqué en Chine
    . En France, on aimait la Chine quand elle était pauvre, comme l'Afrique : ainsi, on pouvait faire de l'assistanat, exporter notre "modèle". Pire, on l'adorait quand elle était communiste, puisque la France a toujours eu de la sympathie pour ces régimes meurtriers. Maintenant que la Chine est devenue une puissance économique, rivalisant avec les Etats-Unis, on a deux repoussoirs ultra-capitalistes : l'empire du milieu et l'oncle Sam. Pourtant, Alain Peyrefitte avait prévenu : quand la chine s'éveillera. Comme le dit sagement mon coach, Tao Wang, la civilisation chinoise a bien 5000 mille ans. Il y a certes eu une parenthèse communiste tragique sous Mao, qui assassina son propre peuple, mais que tous nos "intellectuels" soutenaient, à l'instar de Cohn-Bendit dit Dany le rouge. Mais, de la même manière que mes trois années d'enfermement psychiatrique n'ont pas pu effacer trente ans de carrière et d'activité sans relâche, trente ans de communisme ne peuvent pas effacer cinq mille ans d'histoire. Il en est de même pour la Russie, que l'on adorait quand elle était soviétique, mais que l'on montre du doigt aujourd'hui car elle retrouvera sa splendeur. Rappelons que sous le Tsar, la Russie et la France avait le même niveau de développement économique.
    Les chinois ont inventé les arts martiaux (temple Shaolin), c'est-à-dire une technique scientifique de combat, basée sur la connaissance intime du corps humain et de l'esprit, quand les gaulois se battaient sans aucune réflexion. Seuls les Romains, en Europe, avait inventé l'armée, ce qui leur permit de devenir le plus grand empire en Occident. Les chinois connaissaient la poudre, que Marco Polo a ramené en Italie, avec les vermicelles (devenus les pâtes). Ils connaissaient le théorème de Pythagore au moins 500 ans avant Pythagore. Et je n'ose parler du kamasutra, de l'art de la guerre... C'est bien une manie française de dénigrer ce que l'on ignore, et c'est précisément ce que j'ai subi dans mon propre pays, mais jamais ailleurs.
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  8. J'ai été relevé de mes fonctions, après 30 ans de loyaux services pour l'UPVD, sur la base de lettres anonymes de dénonciation calomnieuse à mon encontre : https://www.leparisien.fr/archives/faux-diplomes-le-temoignage-accablant-d-un-professeur-24-04-2009-489913.php https://youtu.be/3EN-gOllyDw Saviez-vous qu'un président d'université peut faire interner, pendant trois ans et illégalement, un enseignant-chercheur, sans que personne ne bouge ? Par ailleurs, le directeur de l'IAE a neutralisé mes notes pour augmenter les taux de réussite.
    "Quand on ne réagit à l'injustice faite à autrui, elle finit par se répandre, et vous tomber dessus un jour" - Albert Einstein https://youtu.be/OheF7DBKFqU
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  9. Ce qui est légal n'est pas toujours légitime, si l'esprit des lois et le droit naturel n'inspirent pas la loi en question. Une dictature peut faire voter des lois, destinées à renforcer l'oppression sur les gens. Dans ce cas, il devient légitime de désobéir, d'enfeindre les lois. Les institutions, qui fondent un Etat de droit, ont pris des siècles à s’épanouir en Europe, pour s’imposer dès sa fondation aux Etats-Unis. Ces anciennes colonies britanniques furent peuplées, à l’origine, par une immigration d’origine européenne qui trouvait l’occasion de mettre en pratique des idées, qui avaient mûri sur le vieux continent. A tous les croyants qui ont des doutes sur une possible conciliation – ou réconciliation - entre un engagement libéral et leur foi religieuse, l’histoire montre que ce sont les pays communistes qui furent les plus anti-religieux. D'une certaine manière, moins violente et plus sournoise, l’Etat-providence en France nourrit l’ambition de se substituer à la providence elle-même de la même manière que le communisme avait la prétention d’apporter le paradis en ce bas monde. Pour un croyant, un homme est d’abord un fils de Dieu avant d’être homme ou femme en particulier, patron ou salarié en particulier, riche ou pauvre en particulier. Et, tous les hommes sont les fils de Dieu. Pour un libéral, un homme est d’abord un individu avant d’être homme ou femme en particulier, patron ou salarié en particulier, riche ou pauvre en particulier. Et tous les hommes sont des individus. Cette notion d’individu « abstrait » est fondamentale. Elle fonde l’Etat de droit et sous-tend toute l’éthique de l’économie de marché : les lois sont faites pour protéger l’individu « abstrait », c’est-à-dire tous les hommes dans ce qu’ils ont d’universels. L’économie de marché ne fonctionne que si les droits et les devoirs de tous les individus sont reconnus et protégés par un environnement juridique indépendant du pouvoir politique. On ne doit pas faire, ni accepter, des lois de circonstances pour tel ou tel individu concret, pour tel ou tel groupe d’individus, ni des lois discriminatoires pour protéger telle ou telle minorité (que cette discrimination soit dite « positive » ou pas) ou différencier telle ou telle catégorie spécifique sans mettre en péril l’Etat de droit, et sans menacer les fondements même de notre bien-être économique et de la cohésion sociale.
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  10. La réalité dépasse toujours la fiction et, pour qui sait interpréter les signes, elle est toujours source de connaissances et d'information. L'histoire que je vais vous compter s'est déroulée à Las Végas, en 2006. Comme les protagonistes sont toujours vivants, à part la malheureuse victime, nous utiliserons des noms fictifs. Marie joue à Las Végas, captivée par la machine à sous. A ses côtés, Tony l'observe, jouant de malchance sur sa propre machine. Quand soudain, c'est le Jack-Pot : Marie décroche le gros lot : 10 000 dollars s'affichent au compteur. Elle bondit de joie. Et va s'offrir une coupe de champagne au bar. D'origine modeste, c'est sa première expérience du casino mythique de la capitale du jeu. Tony, un pére célibataire de deux fils, sans emploi, entreprend de la séduire, attiré par la perspective de dépouiller cette fille, aussi naîve que facile à pièger. Ne doutant dans de son pouvoir de séduction, il vient lui parler, puis sort du casino. Il met au point le traquenard, qui va s'avérer fatal pour tous les deux. Tony attend dans sa voiture quand, après deux heures d'attente, Marie sort du casino. Tony la suit en voiture puis s'arrête à côté d'elle, lui proposant de la ramener chez elle. En confiance, elle accepte et monte dans la voiture, lui indiquant l'adresse de sa maison, où elle vit seule. Mais, Tony, dans un état second, pensant au magot, conduit sa voiture dans la campagne déserte et agresse Marie, qui se débat comme une furie. Elle n'était pas si chétive que cela. Ce qui va la conduire à sa perte. C'est alors que Tony la frappe violemment au visage, et la nuque de Marie heurte la portière : elle meurt sur le coup. Paniqué à la vue de son geste irréparable, Tony fouille Marie, mais ne trouve aucune somme d'argent. Soudain, prenant conscience de son acte, il reprend ses esprits et veut soulager sa conscience. Il rentre chez lui et réveille ses fils : retrouvant son humanité, il a vraiment besoin de soulager sa conscience. Après avoir exprimé, en pleurant, tout son amour paternel à ses fils, il appelle la police et se livre aux autorités. Il sera condamné à perpétuité. Et, si Marie n'avait pas d'argent sur elle, c'est qu'elle avait tout rejoué ses gains à la roulette, et avait tout perdu. Ainsi, Marie et Tony ont été victime de leur cupidité : les vrais victimes innocentes étant les deux adolescents orphelins...
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